Je cherche l’oiseau, plutôt je l’attends mais ne sachant qui. Le dernier jour peut-être sera le quand, les ailes de l’amour-temps proviendront du tout en bas de moi, au-dedans le plus haut. D’ici, hors traquet des montagnes et gobemouche bleu que je voyais ailleurs, j’ai près de quatre-vingts espèces dans un coin du cerveau. Sur les pages d’un carnet aussi, avec des timbres, des photos. Un crâne de calao.
L’oiseau, c’est l’un de ceux qui passent. Cru voir un touraco, son violet magnifique, du bout de l’œil derrière la vitre de l’auto.
tu es un être effacé d'oiseau… oui
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