Duel, et si au lieu de mort la matière s’accomplissait, forêt sans ciel, si dedans était son dehors et ce qui fut, embryonnaire, une promesse, ne retournerait au rien que le rien, compost acide de l’échec, et ni ruine ni vestige, sous les feuilles en linceul, le pourrissement salutaire.
Or, avec du cassant dans la sonorité, de la fracture, des cicatrices, du cratère – un déjà depuis l’enfance marqué au fer, sacrifié – et le déliement final, musculaire, tout en déployé dans l’air qui (se) déchaîne, offre son velouté d’ardeur.
Vocable qu’on enterre.
Du quoi par qui l’on voit d’une manière irrégulière se donne et nous trahit à des degrés changeants, en variations précaires, image plurielle de tout, arcs-boutants mobiles – plutôt chercher le froncement, la confection des plissures, s’insinuer dans l’ambulant – un dévaler monter en place de lecture, un le se dire – non repérable – passant ville, une, certes s’étend, périmétrale, stellaire, mais où l’on est sur plus que dans, à travers un champ inorganique
un sur quoi rester la journée, la promener sur les sentiers, suivre son propre et son entier… (j'adore)
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Joie de vous lire sur le chemin, Christine, ici nous sommes si loin
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