L’ampoule à blanc est le soleil d’une géographie du sang, bien que l’on voit à peine les rivières bleues d’opale courir sous la peau des cuisses. Je regarde au plafond les taches qui sont des îles. Le matin, lui, s’allonge contre moi, pas l’autre et ses abois de chiens, un qui sait unir la fraîcheur du citron et l’odeur des aisselles. Le tronc violet du bougainvillée, ses ramures pépiantes, avec les spasmes d’un sommeil léger. Donc aussi contre lui je pense que ce qui je est en ailleurs de la toute-puissance du monde. J’entends son bruit, jusque dans l’ordinaire des voix, la sale rumeur de l’ordre, mais je ne suis pas là.
salut tu vas bien j’espère je suis toujours à l’écoute de chemin tournant. Pour ce chapitre Sambôko3 il y’a une phrase que je crois pas bien saisir: Donc aussi contre lui je pense que ce* qui je est* en ailleurs de la toute-puissance du monde. on est ensemble. Le Sénégalais
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Salut le Sénégalais, merci pour ton apparition. Tu sais que je n’explique jamais, pas même un bout de texte… il s’agit du ce qui de moi est le je, simple quoi 👀. On est ensemble, oui.
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