Un poème de Senghor, au tournant du chemin, pour commencer l’an 24 d’un siècle déjà grandement meurtri, vous souhaitant, lectrices et lecteurs de proches ou de lointains pays, ce qui revient ici au même, paix et lumière, autant qu’il vous sera possible d’en recevoir et d’en donner.
courtesy of Jean-Paul Prat/Masal