Il n’y a pas d’horizon
Seulement des ajours de dentelles
à la cime des frondaisons
Des parures de feuillages
et des claquements d’ailes
Sur fond d’ocre
Le blanc cède au noir le mystère
Le sang d’un flamboyant se dilue
Au matin tout redevient vert
Voix d’encre n° 39
le vert est donc flamboyant…
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