Là-bas, la pénombre est hantée de mystères, avec des bourrelets, des cicatrices d’ombres épaisses, nouées. Là-bas, où il dit, le soir est de « bruissailles » et de pompes secrètes. Là-bas, les surjets de la forêt, les ourlets profonds et lourds de la brousse, trafiquent les silences et les insomnies, limitant comme ça peut le tissu incontrôlable du monde. La parole ne cesse jamais, crachée de prolixes bouches divines
dit Anna Jouy, en avant du Journal de la brousse endormie
paru aux Éditions QAZAQ
ePub ou PDF
Et elle dit bien (sourire)²
J’aimeJ’aime
Dire de nuit et de silence…
Tes passages sont joie pour le villageois !
J’aimeJ’aime