Toujours les trois dans leur renfoncement, la part obscure, celle de la terre et celle de moi, en trompe-l’œil ; personne ne voit, sinon le passant de la nuit peut-être, qui entre en soi trouver l’insommeil, avec une forme inconnue de joie, et s’il y a des lucioles tombant mortes sur le chemin c’est que l’amour a peur de tout parfois, alors se presse, au sein d’écueils, à distance de qui opprime. Se desserre-t-elle leur étreinte, à quelque heure qu’on ne connait pas, où chacun marche en son endroit, au lieu secret du cœur de l’un, vers des paysages qui brillent ou du sable orangé. Ne sont au fond que deux, l’autre étant la tendresse, jeu de la paume de la main. Les arbres nous comprennent.
merveilleux texte pour commencer l'année
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merci Brigitte, espérons qu'elle soit douce à l'amour
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Des phrases comme l'écorce.
Meilleurs vœux pour là-bas…
Dominique
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ossoko Dominique, à vous meilleurs aussi
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