Un paysage c’est ton-mon corps, ou celui d’autrui, ce sont tes lèvres de masque vivant, la négresse salive de ta bouche passant sous le pont que j’avale, et toute lecture épidermique faite du moindre creux, des plis, rivières, zone-savane, forêt-seconde et celle plus profonde en qui je n’entre pas, les grains de poivre à leur maturité, la source enfouie d’un ru, les senteurs de café sous le tissu du bois. c’est ça. Aussi là où je me promène en explorant tes vides.
que naitre paysage…
J’aimeJ’aime
en corps…
J’aimeJ’aime