Souvent debout à l’heure du foie ou de la vésicule biliaire, en reniflant je m’interroge sur ce quoi-là, cette vie de pas-grand-chose, de peu d’écrit(s), ces morceaux non choisis, famineux, paludéens, ensemble héliotropiques et sélénaires, marqués par l’opacité, le devoir trouble du comment celer, grimé d’un face-à-face, acides reflux de ma nuit, d’un refus, de la colère, d’une aversion contre le faire, qui me rognent, m’épuisent. Troupeau de corp(s) sur le toi(t).
On peut me saboter (ils) j’embrasse leurs injures.
Vivre est plus périlleux que ça.
Précieuses sont nos vies de pas grand chose…
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C'est vrai
Le peu si nécessaire contre l'arrogant beaucoup
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