Ça sent le bucle, la chair des bêtes
qui ne crient pas quand je dors.
J’entends seulement, à flanc de colline, des voix humaines,
le souffle des nettoyeurs.
Serge Marcel Roche
Ça sent le bucle, la chair des bêtes
qui ne crient pas quand je dors.
J’entends seulement, à flanc de colline, des voix humaines,
le souffle des nettoyeurs.
J’aime sans aimer.
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Hélas, les mots n’y peuvent rien. J’habite sur la colline d’en face, j’ai ça dans l’œil et les oreilles, je m’interroge, mais sans pouvoir vraiment formuler ma question… La nuit meugle en silence dans le bas-fond.
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J’aime cet enregistrement qui vient redoubler le mystère du texte ! 🙂
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Merci Dominique, j’hésitais à le mettre à cause de sa médiocre qualité, mais j’ai bien fait
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