deux corps dérivent, dans le fond d’une pirogue noire, au milieu d’Ureca et d’ici, quand nos doigts, sur une terrasse, triturent la chair, le gout vieux-rose, d’un poisson, on les trouvera, peut-être, sur la plage, près de la maison, très proches et très éloignés de nous, silencieux qui mangeons
contre le fond, la toile, haute, ses couleurs immobiles — ni les cargos ne bougent, ni les vagues ni le son — toujours l’instant, cruel, d’une suspension de l’air, où l’on voudrait s’enfuir sans pouvoir le faire, partir de ce tableau
aaaaaa

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