Il regarde le jardin dans la lumière du soir, les fleurs qui ont un nom, les arbres qui sont un souffle, un trait puisé à la racine, un élan de l’esprit vers une certaine éternité et tous les cris d’oiseaux, d’alarme ou de nuptialité, qui sont avec les larmes la source de la musique. C’est l’heure où le vent soumet tout à son imposition, remet chaque chose à sa place. Quelqu’un passe et le frangipanier s’incline, avec un air d’ailleurs ou de Chine.
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