[….] de moi, d’elle et d’il, fondant l’écrit, sa toile tramée de grillons, de silence et selon, des ailes d’une effraie magnifique, d’un duc à face pâle, petit, ou de ŋgbàndjà saisonnières. Il faudrait mettre le mot à l’envers pour voir ce qui se produit, ce qui advient de soi retourné en lui, le composer en lettres déclinées du vert, sombre d’abord puis jasmin. C’est le bruit pur, l’écoute, qui s’unissent, l’oreille qui se fait l΄une lui, et ce qu’on nomme brousse quitte pour aller où ? que trouve-t-on derrière ? — quel absent — une strie dans la masse d’obscur dont l’audio se détache, mute en monophonie, exactement devant l’étirement brumeux, l’estompe du géométral des buildings sans lampes ni fenêtres, sans disques autour des yeux, alors tendre à toucher la voix prononçant toutes ces choses qu’on ne connaît pas. Donc l’ignorance, mais de quoi, du haut du bas quand ils s’enlacent ? — celle plutôt du vide en qui naître le vent. Elle, son-souffle et nous sans savoir où l’on va, y compris dans l’écrire, le faire, seulement accréditer sa discordance en soi, l’absurde possible offert de la page au fond noir réglisse sur qui s’épreint, en qui s’emprime le corps des lettres, cours du dit, dans le multiple espacement des jours, avec vibrations nues du [ɥi] > hui, ruy, lui(t) < ondes nocturnambules, nyctaloptères.
Merveilles 🙏😌
J’aimeJ’aime
merci Eric pour votre présence à cette étape de départ… où donc nous mènera ce voyage ?
J’aimeJ’aime