La voix écrit juste au-dessus de lui, voix d’un autre qu’on regarde en soi, lune familière, laborieuse à produire le son, l’interne musique qui sans elle ne s’entendrait pas, rien d’Éros ne se porte à la lettre, non plus aux chansons dans les rues saturées, dissolvant nos têtes, non plus aux livres (sauf peut-être si, de temps en temps), il se retourne sur elle qui s’affiche entre les scènes, sa vie c’est du cinéma muet (parfois), des gens qui lui courent après, s’agitent dans le décor, crient des mots contre sa face, des titres détachés du fond crème que le piano souligne.
Vie d’Éros Sambóko #14
et que le poème sublime…
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