Il déambule entre les boutiques, toutes le long du trottoir. S’exposent des mini-sapins, leur chevelure factice. Du papier cadeau, où tu mires un revenant dans sa face interne, derrière la mort une image de toi. Des boules, ornements divers et des dragons chinois, un étrange arrangement. Éros goute l’hétéroclite, qu’il regarde par les bords. Il voit les chevilles des gens, repère, vite parce que ça fuit, s’en veut que pour rien une ombre le fascine. Arrive que sur la distance d’un corps au sien un silence devienne crument théâtre de l’amour, qu’en une seconde l’acte soit joué, de l’alchimie des odeurs à sa triste fin.
Éros Sambóko #36
Eros était à la fête… 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Il était, mais elle n’est pas toujours où l’on croit
J’aimeJ’aime
Des sorts sur une série d’actes.
Le reste est cet endroit peut-être.
De la fascination.
…
J’aimeAimé par 1 personne