ou la verve des pluies

Surgissante Zoé ‒ dont on ne savait rien, qui dit fabrique-moi la tête, des grands jours ordinaires, une coiffure intense, avec de l’organique : ambre, plumes, bijoux de mer, et la bimbeloterie qu’apportent les courants d’air, ou la verve des pluies ; brefs préliminaires : Zoé sans origine, Vénus vénérienne, les couleurs du désir ‒ mais dans ses mains, cette vie tremble, incertaine, précaire ; quand tu sors, la trouille gite entre tes cuisses ; ajoute quelque feuillage, synthétique, le bord d’une lagune, un chemin de fer ; ainsi, dit la vie qui parle, on ne se perd jamais de vue

Vénus en son salon #11

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s