Sur l’arase, pas de verre brisé. On se tient, séparés, dans l’obscur du langage, la part vive d’ombrage qu’offre le mur d’enclos, et de son autre bord, en pensée, au sein d’une vague friche, qui descend. Dont le désordre troue la logique des mots. On reste ainsi ou l’inverse, à se dire sans parler. On regarde le silence des herbes. D’un peu loin, contre la pente adverse, nous scrutent les maisons de leurs fenêtres vides. Amas de crânes inhabités. Tout en bas, bruit une sécheresse, murmure selon Vénus d’un sexe délaissé, ronron de vieux pubis en attente des eaux ‒
Vénus en son salon #37
Serge, avez-vous remarqué que j’ai publié un de vos textes sur Masticadores France?
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Non, je n’ai pas remarqué, ces derniers temps j’étais peu présent, avec des problèmes de connexion. J’irai voir. Grand merci Marcello
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Merci à vous. Je l’ai poblié aujourd’hui.
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La part vive d’ombrage qu’offre le mur d’enclos….
J’aime cette tournure de phrase. Bel oxymore!
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Sphère atmosphérique d’un mystère élucidé ou décalqué.
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