Peut-être au Japon, mais pas plus d’une ou deux semaines. Zoé rapporterait des peignes, des kilos d’ornements. On manque de fantaisie, que la vie semble morne ‒ quoi nous retient, les us, des habitudes qui façonnent, rempart contre le destin, le voisinage de la mort, ou rien. On fait du bruit, sur le trottoir, ici-même, dans les maisons, allant de place en place d’un deuil continuel, d’un théâtre face aux défunts. On trottine au son des trompettes, de chœurs mécaniques et des sermons rageurs envers les possédés que patiente la colère divine ;
Vénus en son salon #45