Kambélé

Pas de ciel ni de lune à travers les manguiers, mais un couvert de poussière, des bruits composant la route, l’ampoule nue d’un bar, nous qui buvons en face une mauvaise bière. On ne voit que des yeux qui ont creusé le jour.

Il y a des cris, des motocyclettes. Les entailles de la peau. Les sons-éclairs de vies dont une part est muette. Le chantier de nos corps qui ont été pesés.

Le trou dans nos têtes

Kambélé 18:47

2 commentaires sur “Kambélé

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s