Ici, c’est comme ailleurs le bruit et la fureur du monde,
mais avec une tout autre présence des corps.
Un théâtre de corps qui demeurent terrestres.
Les yeux pourtant se détournent,
les forêts sont passées et les rivières défuntes.
Le bruit et la fureur du monde, il me semble avoir lu ces mots dans La chambre de Jacob, de Virginia Woolf.
Le bruit et la fureur du monde, il me semble l’avoir lu dans La chambre de Jacob de Virginia Woolf
Reste l’humus humide, sous des pensées arides.
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Un croque-mort, peu prudent, s’est noyé dans la rivière défilante… 🙂
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