On aime ces dévers, où gite une vie prudente, que personne ne voit, ces figures du côté qui penche, nous incline. En vivant l’inquiétude des bêtes dans leurs trous. La façon dont elles causent aussi, le verbe sous le masque des futilités, comment elles écoutent jusqu’à perte de son. Vénus dit la tanière en parlant du salon ‒ plutôt pour se moquer de toute l’obscurité mise derrière les façades. Leurs faux-airs de clarté. Les gens ignorent habiter pareillement sous la terre. Nous d’emblée on préfère le bas, l’enfoui, le caché, Vénus dit encore chérir la lumière.
Vénus en son salon #38
Tout un univers qui se dérobe à nos yeux…
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Oui, et qui demande de notre part un regard bienveillant. Merci pour votre mot
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Le terrier de Kafka comme branché à l’extérieur de « la tannière » où se tapit un petit monde qui ne comprend pas le monde lui-même : l’obscurité peut aveugler… 🙂
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J’allais parler du même dernier ouvrage de Kafka, le terrier. Je recommande.
Et merci pour votre visite !
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Préférer d’emblée l’enfoui pour chérir la lumière ou pérorer dans la fausse clarté ? Un choix, sans doute !
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Pérorer dans la fausse clarté… l’expression est juste et belle
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