Je regarde toute chose à la manière d’une bête au sortir de son trou, une petite bête à l’œil horizontal qui elle aussi veut vivre un jour de plus, et lève la tête.
J’ai trop regardé le ciel, tant, que l’image est descendue pour se tenir à ma portée. Elle s’y tient.
Je ne tourne plus les yeux vers le haut qu’en prévision des orages.

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