Le débarras que sont nos vies, cet enfer des choses jetées là, dont on ne veut plus et qui pourtant restent au coin de soi. Dessus, on pose un œil, par l’ouverture de la douche, dans les senteurs du soir, d’éponge et de bois pourri.
Photo : SMR
Serge Marcel Roche
Le débarras que sont nos vies, cet enfer des choses jetées là, dont on ne veut plus et qui pourtant restent au coin de soi. Dessus, on pose un œil, par l’ouverture de la douche, dans les senteurs du soir, d’éponge et de bois pourri.
Photo : SMR
Un de ces instants où je soupire d’aise.
Je lis et relis.
C’est la beauté du mot, avec ce quelque chose de carré peut-être, ou de liquide.
Merci.
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