L’absence, Éros dit, ça voyage par un train de nuit, entre les étoiles : on y fait deuil des vivants ; Vénus pleure, pas beaucoup, à peine, puis sourit ‒ au crépuscule du soir, on se trouve bien, tout s’enfloue, les gens montrent le visage qui se perdra, dans l’obscurité, l’amour, sur son pas de porte, les suit avec le regard ‒ l’oubli, Éros cause encore, ça erre parmi, tel un chien maigre, immortel, mais sans des mains qui le caressent ; on descend le rideau et la rue perpendiculaire, allant vers un quelconque endroit, où l’on pourra s’attendre à rien, rien ni d’autre que soi-même,
Vénus en son salon #7
station d’Eros, silhouette de Venus – la scène est en place. 😉
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