Sa beauté chasserait les intrusions cliniques, l’angoisse sableuse des longs jours, le creusement que fait la nuit et de tenir la mémoire en avant de ce qui passe, dans un guet perpétuel ‒ romprait le cours de la songerie, qui lui fore le corps jusqu’à son squelette. Car aussi ça déborde du skaï l’odeur des huiles pour le bain, les crèmes, le fard, en rivières emplissant tout, avec des paroles qui surnagent, et des rires, autour du crâne, comme des tourbillonnements de mouches, quand vient seule la peine de haler le récit vers la fin cruelle du soir
Vénus en son salon #18
À l’heure du soir venant, sans profusion de beauté, vite hâler les maux roses, sursis d’un skaï aimant
🙂
https://lyssamara.wordpress.com/2022/10/09/pommettes-contractuelles/
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L’étendue noircie des regrets affronte les miasmes du désert tandis que Venus réveillée bâille aux gouttes de l’aurore, boit leur fraîcheur et tisse des lignes comme celles d’une toile arachnéenne. 🙂
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Des rires autour du crane … merci
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