l’imprévu du dehors

Ou des fois, lampe éteinte, devenir le vitrage sur qui les formes glissent, joindre l’imprévu du dehors aux tableaux qu’on fabrique, des mini hasards dans l’image, des accrocs de temps, l’hésitation rare d’un passant dont le regard trébuche, qui sitôt se reprend, s’efface, court devant, vers ce qu’on ne voit pas. Confondre les plans et ne plus sortir. Une couleur parfois plonge de côté dans la noirceur. Ou, comme un dimanche, rien ne bouge. On flaire la durée, on renifle l’instant, tout devient affaire de sentir. On piste la forme des odeurs. Vénus pense à Zoé ‒

Vénus en son salon #41

3 commentaires sur “l’imprévu du dehors

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