Découpes

La ville découpe le corps de travers.

Des pépinières je n’ai vu que le flou, sauf des Pourpiers en fleurs et des Plantes crevettes, sans les deux lèvres qui fendent leurs coroles. Au Mexique on les nomme Cola de camarón. Je marche penché, un peu comme elles.

Après, sur le pont, une sorte de peur.

Qu’est-ce qui se tait et qu’est-ce qui crie ?
Ce qui revient au même à l’intérieur.

Les noix d’arec ont muri.

2 commentaires sur “Découpes

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